À l’ère de l’ultra-automatisation numérique et du marketing, je pense qu’on fait fausse route.
Entends bien que j’automatise une foule de choses dans mon entreprise en ligne pour en assurer la rentabilité.
Mais nous sommes rendu à vouloir sur-automatiser. Des tunnels de vente qui mènent à des services et un service après-vente sans intervention humaine. Des courriels préprogrammés en masse, des publications programmées trois mois d’avance. On vante le fait de ne même plus avoir à interagir avec nos clients et d’empocher le cash (si si j’ai vu ça).
On ne veut même plus te parler, achète directement ou remplis un formulaire et on t’enverra un autre formulaire… Je dit ça et je sais que c’est aussi facile de se faire prendre au jeu.
Perdre l’essence de l’entrepreneuriat
Pour moi ce n’est plus du business, mais une “usine” en série gérer par des gens qui courent après le “online business dream” : faire moins pour faire plus de cash* sans se soucier réellement des clients, mais plus de la marque de la prochaine bouteille de champagne. Sans se soucier de créer la vraie richesse : la valeur et l’impact circulaire sur le monde.
On en oublie l’essentiel du commerce : l’échange comme dans “Merci d’avoir magasiné chez nous Mme Tremblay” et “Merci pour vos conseils”.
L’art de servir et de contribuer. L’art de donner et recevoir.
L’art de la connexion humaine
Tsé cette “chose” qu’on a tant oubliée dans les deux dernières années, mais dont on a cruellement besoin pour évoluer comme espèce. Business ou pas.
Je crois à l’équilibre en toute chose : au point de synergie. Ce point qui est juste et équilibré.
Les temps évoluent, changent. On n’est plus à l’ère du porte-à-porte, certes.
Mais automatiser n’exclut pas d’humaniser. De trouver ce juste milieu.
Je crois que l’industrie va frapper un mur. Et je ne compte pas en faire partie.
Tu auras toujours, chez moi, la possibilité de parler à un humain. Je partagerai toujours des publications senties qui prennent racine dans le moment présent de notre connexion. J’enverrai toujours des cadeaux et mon assistante s’assurera toujours que tu es ok dans ton programme respectif.
* Y a rien de mal à faire beaucoup d’argent, au contraire, mais je crois à le faire de façon éthique.
Steph